Le nouvel an Tamoul

Chaque année vers la mi-avril se déroulent les célébrations du nouvel an Tamoul, un groupe ethnique originaire d'Inde et (très) majoritairement de religion hindoue. La nouvelle année débutant par le 14 avril, les Tamouls sont donc entrés dans l'an 5114 du calendrier hindou il y a un mois environ, accompagnant ce « Varusha Pirappu » (nouvelle année) par de nombreuses célébrations. C'était notamment le cas sur l'Île de la Réunion, riche d'une importante communauté Tamoul de plus de 200 000 personnes.

 

La première journée de la nouvelle année commence toujours par une purification de la maison puis par un bain rituel, avant de laisser place à une cérémonie religieuse.

Les festivités prennent ensuite le relais, la gastronomie et la culture Indienne occupant une part importante des célébrations. Musiques traditionnelles et danses folkloriques sont aussi au programme, le tout offrant un spectacle riche en images et en couleurs. Les célébrations du nouvel an sont un grand moment de rassemblement, de partage et d'offrandes aux divinités.

Avec un peu de retard, So.Mystic souhaite donc un joyeux « Puthanda » (célébrations du nouvel an) à tous les Tamouls de la Réunion et du monde entier !

Un sans domicile des rues d'Austin se demande quelle religion se préoccupe le plus des sans abri

Situation peu commune dans les rues d'Austin (Texas, Etats-Unis). Fin avril un sans domicile fixe a créé le buzz sur le web. Assis sur un trottoir, l'homme montre une pancarte mentionnant :  « Quelle religion se préoccupe le plus des sans abri ? ».

Devant lui, huit bols en plastique et un chapeau représentant neuf religions et croyances différentes – christianisme, bouddhisme, islam, judaïsme, athéisme, spiritualisme, hindouisme, paganisme, agnosticisme.

La scène pourrait  se traduire comme une forme de compétition, c'est en fait ce que l’on pourrait lire clairement sur cette pancarte.

Chez So.Mystic nous voyons cette situation d'un œil différent. L'important n'est pas de savoir qui donne le plus ou le moins, mais de voir que chaque bol comporte au moins une pièce. Voilà une preuve qu'à l'échelle d'une rue, neuf personnes de religion différente se préoccupent du sort des plus démunis. Ce bel élan de solidarité ne doit pas s'arrêter à un quartier ou une rue. C'est à l'échelle mondiale que les religions doivent montrer leur solidarité pour faire de la terre, de notre terre, un endroit où il fait bon vivre. Un message d'union, de solidarité et d'harmonie entre les peuples que So.Mystic ne peut qu'approuver et partager. Et vous ?